Vous êtes venu jusqu’ici parce que vous avez vu l’image d’une femme sexy. Attention, ceci est une étude scientifique, il n’est à aucun moment question de sexe dans cet article.
Promis !
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The Guardian, un bon journal de la Perfide Albion révèle une étude scientifique canadienne selon laquelle, la musique aurait des effets sur le cerveau. Des effets comparables à certaines drogues. Sans entrer dans les termes techniques que seuls les spécialistes des neurosciences pourraient comprendre, et il faut bien admettre à mon grand regret que ces mêmes spécialistes sont assez peu nombreux à lire ZibloG 🙂 et bien la musique utiliserait les parties du cerveau qui sont dévouées à la motivation. De là, se déclenchent des réactions chimiques comparables à une injection de dopamine.
Enfin, dans certains cas seulement. Par exemple, le jour ou j’ai écouté Led Zeppelin pour la première fois, j’ai eu beaucoup de plaisir. Alors que – allez savoir pourquoi ? – le jour de la sortie du dernier album de Céline Dion, j’ai repris deux fois des moules. (Inspiration, Desproges).
« Un son seul ne procurera pas de plaisir s’il est isolé. Par contre, une série de notes arrangées peut devenir une des expériences les plus gratifiantes que les humains aient jamais connue« , explique Valorie Salimpoor qui s’est occupé de cette étude.
Une expérience qui a consisté à faire écouter le même morceau instrumental à différents cobayes a montré une augmentation de 6 à 9% des niveaux de dopamine et même 21 % pour une des personnes. La traduction concrète de cela est que les sujets sont plutôt de bonne humeur.
Bon, je vais faire un test sur moi même et je vous donnerai les résultats plus tard. Je vais prendre un disque au hasard, euh… tiens Brassens avec Fernande par exemple. Je me demande… oui quand j’écoute Fernande, je me demande si la dopamine monte.
life ‘s short to listen bad music 😉